top of page
Photo du rédacteurIngrid

Phobie scolaire et sociale, notre impuissance face à nos jeunes en souffrance.

Dernière mise à jour : 17 mars 2023

Et si la solution était plus simple qu'il n'y paraît.


Dans ce monde où tout va un peu vite, les phobies ont le vent en poupe.

Mais deux d’entre elles gagnent la première place du podium à savoir la phobie scolaire et la phobie sociale… d’ailleurs elles se battent pour être ensemble sur la première marche. Autant vous dire que chez Mindicoaching, les prises de rendez-vous affluent. Au bout du fil, des parents en grande détresse, complètement perdus, implorant de l’aide pour soulager leurs jeunes en perte de repères et de confiance.

Les plaintes sont toujours les mêmes : problèmes d’alimentation, crises d’angoisses, peurs irraisonnées, sensation de persécution, de jugement, et une complète dévalorisation de soi, pour finir cloîtré à la maison en larmes. Est-ce que mon enfant est normal ? OUI ! Il est juste paumé, mais pas que. En effet, on vérifie systématiquement qu’un événement traumatique inconscient de la petite enfance est la source de tous ces mal-être, et que, par la magie des thérapies de nettoyage de mémoires cellulaires, on peut s’en délivrer une fois pour toute.

Bon nombre de parents prennent peur et nous confient avoir pensé que leur enfant souffrait de paranoïa, ou d’autres maladies psychiatriques. Internet regorge d’une tonne d’informations allant dans leurs sens. Rassurez-vous, c’est juste une mauvaise passe, mais… il faut la passer et se faire accompagner par des professionnels dans le domaine.

Ces deux phobies se retrouvent majoritairement chez les adolescents, mais également en période prépubère et intensivement chez les adultes qui n’ont pas reçu de soins lors des premières manifestations. Plus la prise en compte est précoce, meilleur sera le succès de délivrance.


Penchons-nous sur une définition plus précise de ces deux phobies :


La phobie sociale : « également appelée « anxiété sociale » fait partie des troubles anxieux, tout comme l'état de stress post-traumatique et les TOC (Troubles Obsessionnels Compulsifs).

Elle se caractérise par une peur intense des situations dans lesquelles la personne phobique est confrontée aux regards des autres. Cette peur devient rapidement une angoisse profonde lorsqu'elle est amenée à prendre la parole devant un groupe de personnes ou simplement lorsqu'elle est observée par des personnes ne faisant pas partie de son entourage. Le fait d'être exposée au regard et au jugement des autres crée pour la personne phobique un état de stress indescriptible. Elle s'isole donc peu à peu afin d'éviter ces situations qui provoquent chez elle un malaise important ». (Passeport santé)

En découle d’autres stress associés, comme la peur de rougir en public, la peur des grands espaces et de la foule (et donc de sortir de chez soi), l’angoisse à l’idée de demander un renseignement que ce soit au téléphone ou de visu…

La personne s’isole de plus en plus au point de ne plus pouvoir sortir avec ses amis, se nourrir correctement (surtout si elle doit faire ses courses seule), suivre des cours en visioconférence et dans des cas extrêmes, sortir de sa chambre. Son environnement se restreint peu à peu, et l’isolement augmente chaque jour. Certaines personnes peuvent pour se donner du « courage », consommer de l’alcool, des substances illicites ou des médicaments (antidépresseurs, anxiolytiques…). Le cercle vicieux est engagé, la personne est complètement désorganisée et décentrée.


La phobie scolaire : «est une angoisse massive qui survient à la simple idée d'aller à l'école. Elle se manifeste typiquement au moment du départ de la maison par une crise de panique qui ne s'estompe que lorsque l'enfant est convaincu qu'il n'ira pas à l'école ». (Passeport santé)

Un jeune peut tout à fait ressentir une grande angoisse du jour au lendemain sans événement particulier à relater. Et c’est bien normal, puisqu’ici encore, le traumatisme qui est en est la cause est inconscient.

La magie de la thérapie brève (NTI ,entendez, nettoyage des traumatismes inconscients) que je pratique n’a nullement besoin que la personne se souvienne de ce fameux ancien traumatisme. Nous pouvons le déjouer en passant par un autre circuit neuronal.

Pourquoi subitement mon enfant déclenche tous les symptômes d’une phobie ?

Parce que son cerveau a vécu un événement qui ressemblait fort, dans ses contours, au traumatisme qu’il a vécu quelques années auparavant, l’a reconnu comme « danger » et se manifeste à nouveau en déclenchant des angoisses.

Des exemples ? : le harcèlement scolaire est celui auquel on pensera le plus facilement. Même si celui-ci a bien été vécu par le jeune, il n’est pas le traumatisme initial inconscient qui est à l’origine de tous ces malaises, mais seulement l’évènement déclencheur.

Par contre, on peut nommer des évènements anciens comme des accidents traumatiques, des états de choc, des convulsions, des pertes de connaissances, une naissance difficile (manque d’apport d’O2), des syncopes…


Bref, parents, cessez de vous en vouloir, le bobo est ancien, mais on peut le réparer 😊

Vous souhaitez en savoir davantage, n’hésitez pas à prendre contact avec nous par téléphone au 0471/ 05.07.14 ou visionner notre site internet (www.mindicoaching.be) qui regorge d’informations utiles.

À très vite ! Ingrid et Didier Annet pour Mindicoaching


Mots clefs : phobie sociale, phobie scolaire, déscolarisation, crise d’angoisses, peurs irraisonnées, thérapeute en phobie scolaire, thérapeute en phobie sociale, trouble d’anxiété sociale, thérapie phobies, troubles anxieux, isolement, exclusion

50 vues0 commentaire

Comentarios


bottom of page