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Photo du rédacteurIngrid

« A resolve for every morning of the New Year » … Une résolution pour chaque matin de l’an neuf !


Ah, ces bonnes vieilles résolutions de l’an nouveau. Chaque année, vous et moi on s’y engage, c’est certain ! Oui, mais on ne tient jamais sur la longueur n’est-ce pas ? Saviez-vous que cette coutume séculaire prend racine bien avant Jésus Christ ? Cette tradition remonte à Babylone, où la première préoccupation des cultivateurs était de rendre les outils empruntés à leurs propriétaires. Nous sommes loin des engagements personnels actuels tels qu’arrêter de fumer ou faire plus de sport !


Bien plus tard, les Romains recherchaient auprès de leur Dieu Janus, le pardon de leurs fautes de l’année écoulée. Tout comme les anciens chrétiens, qui consacraient le premier jour de l’an à se remémorer les erreurs commises tout en cherchant un moyen de se racheter.


Les Nordiques avaient coutume de prêter serment au moment de Yule, cette période de quelques jours qui englobent le solstice d’hiver. Il en va de même pour le peuple juif, la religion islamique… à chacun ses principes pour s’améliorer.

Peu importe de quel calendrier on parle, grégorien, julien, que l’année débute le 1er janvier, ou encore en mars pour le retour du printemps, les bonnes résolutions prenaient cours les premiers jours de la nouvelle année.

Pourquoi les gens pensent-ils qu’il sera plus facile d’améliorer ou de changer radicalement d’habitudes et de comportements en cette période charnière ?

Serait-on plus sympathiques les premiers jours de l’an ? Pourtant, on pourrait croire que la fatigue accumulée des fêtes, des bouclages de dossiers en urgence, ou des longues journées sombres nous rendent au contraire bougons et renfrognés.

Serait-on plus intelligents ? Bon nombre cherchent un nouvel emploi plus ambitieux, plus challengeant. C’est fou de voir comme ils se sentent légitimes pour ce nouveau poste en janvier alors que l’idée même de changer de chaise de bureau les effrayait en décembre.

Autre constat, on se regarde plus dans un miroir en janvier. Sinon, comment pourrait-on se promettre de faire plus de sport, de manger moins de crasses et d’éliminer toutes sources de boissons alcoolisées. Mince, il va de soi que je vais devoir décliner les futures invitations à diner et les soirées karaoké ou bowling entre amis. Hum, dilemme, si je fais cela, je tire un trait sur ma résolution de développer mon intelligence sociale en prenant du temps avec ma famille et mes amis. Et voilà comment une bonne résolution tombe aux oubliettes en deux secondes.


Les fins d’année sont toujours si compliquées. Courses contre la montre : le boulot, toujours plus de tâches à faire et de problèmes à résoudre, les cadeaux de fins d’année, quoi pour qui, c’est un casse-tête à chaque fois. Sans parler de ces journées sombres qui nous surprennent toujours comme si nous n’étions pas habitués. Pourtant c’est la même ritournelle chaque année, comment peut-on oublier ? Et surtout, comment font nos amis nordiques pour survivre ??


Mais en janvier, nous apercevons le bout du tunnel. Les journées « allongent », et chaque minute de lumière supplémentaire nous met en joie ! Il nous en faut peu finalement pour être heureux. Car qui dit janvier, dit « les beaux jours reviennent » dit « projets en prévision » !Et soyons honnêtes, les Belges détiennent la médaille. Les jardiniers frétillent, les bricoleurs élaborent leurs plans, les voyageurs planifient leurs départs vers des lieux exotiques, et les étudiants décomptent les jours qui les séparent des vacances d’été. Ha oui, janvier est propice à la rêverie !


Mais revenons à nos bonnes résolutions, et les fameuses listes !

Vous voyez de quoi je parle, la fameuse liste que tout le monde tient et que personne ne tient, vous me suivez ?


Celle qui ressemble étrangement à celle de l’année précédente, à la différence que vous avez changé de couleur de stylo et de surligneur. Celle qui est restée aimantée sur votre frigo quelques mois jusqu’au jour où vous l’avez lue une dernière fois en haussant les épaules et en levant les yeux au ciel vous demandant ce qui vous est passé par la tête le jour où vous l’avez écrite. Finalement, cette liste est passée à la corbeille pour vous permettre d’arrêter de culpabiliser vis-à-vis de votre flegme légendaire à ne rien entreprendre de concret.


Parce qu’il est bien là le problème. Seul, c’est difficile d’actionner les changements, de mettre en place une stratégie efficace, et de ne pas se décourager dès qu’il y a un obstacle dans votre programme.


C’est pourquoi il est intéressant de se faire accompagner par un professionnel en coaching de vie, ou un thérapeute spécialisé pour établir un programme personnalisé à chaque problématique. Que ce soit l’arrêt de mauvaises habitudes (la procrastination étant un sujet phare en consultation), évoluer dans ses relations sociales, changer de boulot, ou travailler la peur de l’engagement, de déménager… à chacun ses priorités.



Le coach ou thérapeute sera votre meilleur allié dans la priorisation de vos projets et leurs réussites. Il sera présent dans les moments de doutes et de remise en question, et vous encouragera à poursuivre votre but en restant focus sur les raisons qui vous ont permis d’actionner les premiers changements (santé, couple, boulot…). Le coach ou thérapeute s’adapte au rythme de tous, mais connait les techniques qui mènent au succès. Il sera en première ligne pour souligner vos progrès et vous invitera à célébrer chaque pas engagé vers la réussite. Prendre rendez-vous avec un coach ou thérapeute est sans conteste le premier pas de la réussite, quelles que soient vos attentes.


Selon une étude menée par Richard Wiseman de l’Université de Bristol impliquant 3 000 personnes, celle -ci a montré que 88 % des résolutions de la nouvelle année échouaient.

En décidant de vous faire accompagner par un professionnel, vous mettez toutes les chances de votre côté pour valider fièrement les points essentiels de votre liste de bonnes résolutions. Il suffit de quelques séances pour atteindre ses objectifs et se couronner de succès. Et dans ce monde individualiste sur lequel repose pour chaque individu, de multiples pressions, il est nécessaire de demander de l’aide sans rougir, juste pour améliorer sa condition et celle de ceux qui nous sont chers.

À vos listes, prêts ? Partez !

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